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Lima la grise. Une ville immense, où se côtoient les quartiers chics et les bidonvilles, où règne le désordre et le bruit, où un brouillard jaunâtre de pollution flotte dans l’air comme un ciel menaçant. Difficile de passer à côté de ces premières impressions quand on est obligés de se mêler à la circulation à la sortie de l’aéroport. Malheureusement l’impression ne changera pas beaucoup au fil de la journée. Le centre ville vaut à peine le déplacement et finalement le seul petit havre de paix dans le quartier Miraflores, au bord des falaises, est lui aussi entaché d’une circulation chaotique qui fonctionne aux sons des klaxons.

Nous avons quand même pris plaisir à se balader dans des parcs d’une propreté exemplaire grâce aux agents d’entretiens qui y sont presque aussi nombreux que les chiens qui s’y promènent.
La très agréable surprise a surtout été de rencontrer les Péruviens : souriants et bienveillants envers deux touristes fraîchement débarqués.

 

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