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Comme dans le reste du pays, la capitale jordanienne était aussi un joli témoin de l’histoire et n’était pas en reste côté sites archéologiques à découvrir. 

D’abord son immense théâtre romain, très bien conservé. Quand on est arrivés on a tout de suite repéré des cameras et des gens déguisés. Notre présence de semblait pas les gêner. C’est en prenant de la hauteur que l’on a compris de quoi il s’agissait : nous sommes tombés en plein dans une épreuve de Pekin express, comme en témoignait le symbole installé devant le château. Après une rapide recherche sur internet on a découvert que ce n’était pas des Français, mais probablement des italiens. Mais encore plus étonnant, on s’est rendus compte que l’on faisait exactement le même parcours que l’émission française : Jordanie, Ouzbékistan, Kirghizistan (ils ont aussi été aux Emirats pour l’arrivée, où on a aussi fait escale) , pas très banal comme itinéraire, et pourtant on n’était pas les seuls à avoir eu l’idée.

Nous avons ensuite grimpé jusqu’à la Citadelle d’Amman. Le site était immense et offrait une magnifique vue sur la ville. Il mêlait des vestiges romains,  byzantins et Omeyyades (dynastie arabe) retraçant bien l’histoire du pays. 

Profitant d’être en ville, on s’est aussi employés à goûter aux derniers plats jordaniens qu’il nous restait à tester : tabouleh (à base de boulghour et surtout beaucoup d’herbes fraîches), shish barak (raviollis avec une sauce au yaourt), kibbeh (sorte de croquette de viande) . On a même été dans chez Hashem , petit snack de rue réputé car le roi en personne est venu y manger avec sa famille, on y a mangé de très bons fallafels accompagnés de houmous. En résumé la cuisine jordanienne est assez proche de celle que l’on retrouve dans les restos libanais chez nous. Il ne nous manque plus qu’à aller au Liban pour goûter les différences !